Monthly Archives: juillet 2016

Coco Beach – Moorea Motu Restaurant

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Eugène en Ville recrute Réceptionniste de jour

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Hôtel Royal Savoy Lausanne recrute Superviseur petit-déjeuner

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Tribute to Burlesque by Revue OhLaLa Marrakech

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Premier bilan d’une analyse fonctionnelle du mouvement dansé

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Le ministre de la Culture, Heremoana Maamaatuaiahutapu, a reçu, jeudi en fin d’après-midi, durant une heure, Yvonne Paire, dont le séjour polynésien arrive à son terme. Enseignante au Conservatoire national supérieur de danse de Paris et formatrice pour les concours délivrant les diplômes d’Etat de professeur de danse, Yvonne Paire a présenté au ministre un premier bilan de sa mission, en évoquant également les perspectives intéressant tous les professionnels et pratiquants du ‘ori tahiti. Le ministre a souhaité l’encourager dans cette voie alliant pratique et prévention. Yvonne Paire a ouvert, début juillet, au Conservatoire artistique de Polynésie française, une première formation concernant sa spécialité, l’anatomie du corps et, surtout, la préparation du corps des danseurs. Elle a expliqué au ministre avoir rencontré et interviewé de nombreux professionnels de la danse traditionnelle – chefs de groupe, chorégraphes, danseurs de haut niveau –  afin de partager leur expérience et pour travailler sur une méthode spécifique de préparation, d’échauffement et d’approche de la discipline. Yvonne Paire a par ailleurs assisté à toutes les soirées du Heiva 2016, afin d’étudier la technique des danseurs. La formation d’AFCMD (analyse fonctionnelle du mouvement dansé) appliquée à la danse tahitienne pointe la spécificité de cette danse sur le plan corporel, et a […]

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Vahine Tahiti – Vaiana

http://youtu.be/917ca-S_kGc

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Les mille et une vies de Raymond Bagnis

http://www.tahiti-infos.com/photo/art/default/9956079-16147446.jpg?v=1469932180

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PAPEETE, le 30 juillet 2016 – Le taote est arrivé en Polynésie français en 1963. Depuis, cet amoureux de la culture polynésienne n’a plus quitté le territoire, jonglant entre une vie de médecin dans les îles et de chercheur sur la ciguatera.

L’ancien médecin a toujours son sourire de jeune homme. Son visage a conservé la marque du temps, ses cheveux ont blanchi avec les années. Mais à l’intérieur, Raymond Bagnis est toujours le même : un homme au service de ses patients, au service de la recherche. "Dans ma tête, j’ai toujours rêvé d’être médecin. J’avais envie de voyager, d’être sur un bateau et d’exercer ce métier", confie l’octogénaire.

Né de parents piémontais, arrivés à Nice dans les années 1930, Raymond Bagnis a vécu de manière modeste. Après son bac, il lui a été impossible de continuer vers médecine. "Mes parents n’avaient pas d’argent. Ma mère était aide ménagère dans un hôtel, mon père était conducteur de bus puis de tramway… Il fallait que je les aide financièrement", commente t-il dans un sourire. A la sortie du lycée, le bachelier enchaîne les petits boulots.

En 1950, il entre au service technique de la mairie de Nice. "Mon premier gros chantier était l’élargissement de la promenade des Anglais", se souvient le taote, non sans émotion suite aux récents événements. Assidu à la tâche, Raymond Bagnis n’abandonne pas pour autant son rêve d’enfant. A l’intérieur de lui boue toujours l’envie de porter la blouse blanche. "Un jour, j’ai rencontré un copain d’école. Il m’a dit qu’il venait d’entrer à Santé navale, à Bordeaux. Je n’avais aucune idée de ce que cela pouvait être… Quand il m’a expliqué, j’ai compris que c’était la seule occasion que j’avais pour faire mes études."

Santé Navale, établissement gratuit, forme des médecins destinés à servir au sein du ministère de la Défense. Après une année de préparation au concours entre Nice et Marseille, Raymond Bagnis intègre l’école en 1954. Cinq ans plus tard, il obtient son diplôme de docteur en médecine. L’aventurier en herbe demande à être envoyé en Mauritanie, chose qu’il obtient. En 1960, c’est le grand départ. A 28 ans, ce fils d’immigrés piémontais pose pour la première fois le pied sur une autre terre que française.


UN TOUR DE MONDE PONCTUÉ D’ÉPIDÉMIES
Les mille et une vies de Raymond Bagnis
"En Mauritanie, j’étais responsable du service hygiène mobile, explique Raymond Bagnis, assis dans la salle de réunion du conseil de l’ordre des médecins à Papeete. Je faisais de la chirurgie de brousse, j’ai travaillé sur la lèpre et de nombreuses maladies tropicales dans des situations parfois rocambolesques. C’était un pays très intéressant." Il y passe trois ans. Trois années riches en expérience et en souvenirs loin d’être oubliées 50 ans plus tard.

Avant de reprendre un poste en Allemagne, Raymond Bagnis se lance dans un tour du monde. Forts de ses expériences en Afrique, il n’a pas peur de grand-chose. Au contraire, il a soif de découvertes. Après un passage par l’Amérique du Sud et Los Angeles aux Etats-Unis, le médecin arrive en Polynésie française. Mais, à la douane, le jeune homme est repéré. "Quelqu’un m’a regardé et m’a dit que j’étais tout jaune. Effectivement, j’étais en train de faire une jaunisse."

Le médecin de l’armée veut le rapatrier en France. L’intrépide refuse et demande à être envoyé vers un de ses confrères à Raiatea. "J’ai passé quelques semaines auprès de lui pour me faire soigner, puis je suis reparti en tour du monde… Je suis allé en Calédonie et dans le sud-est asiatique. En arrivant à Hong-Kong, je suis tombé dans une épidémie de choléra… Mon tour du monde a été émaillé de plein de petite choses comme ça..", rit le médecin.

Après des mois à sillonner les continents, Raymond Bagnis arrive en Allemagne le 30 octobre 1963.

Quelques jours plus tard, il trouve sur son bureau une lettre en provenance de Raiatea. Il lit les quelques lignes: son confrère lui apprend qu’un poste de chirurgien, spécialité du jeune médecin, est vacant à l’hôpital. Sans hésiter, Raymond Bagnis pose sa candidature. Il est de retour à Tahiti le 21 décembre 1963.

"Là, je devais me rendre à Raiatea pour prendre mes fonctions. Sauf que l’on m’apprend qu’en réalité le poste a été donné à quelqu’un d’autre. Finalement, le 25 décembre, je pars sur un bateau pour les Gambier". En route, l’équipage sort de sa trajectoire pour aller vers un atoll des Tuamotu. A Tikehau, deux personnes sont gravement malades après avoir mangé du poisson. "Nous sommes appelés pour les soigner. Mais je n’avais jamais entendu une telle histoire. Pourtant, j’avais vu beaucoup de choses en Mauritanie. Les personnes étaient dans un tel état que j’ai été obligé de les mettre sous perfusion…" , explique le Polynésien d’adoption avec précision.

La maladie, jusqu’alors inconnue, se nomme "ciguatera". Devenu médecin des îles, Raymond Bagnis travaille en parallèle sur le sujet. En avril 1964, trois plongeurs meurent après avoir mangé des bénitiers. Etrange. "Nous pensions alors que c’était la maladie que nous venions de découvrir, la ciguatera. Finalement, il est apparu que non."

Deux chercheurs américains viennent en Polynésie française pour étudier le phénomène. Très vite, il est proposé à Raymond Bagnis de faire partie d’un programme de recherche sur la zone Pacifique. Ce dernier accepte. Sa mission : rapporter les informations recueillies sur le terrain et aider les scientifiques dans la recherche.

"En 1967, ma mission était terminée, j’étais censé quitter la Polynésie. Mais finalement, ça ne s’est pas fait. Je me suis lancé dans la recherche autour de la ciguatera". Un programme d’étude sur les poissons toxiques est mis en place. Une équipe internationale de scientifiques et de médecins prend ses quartiers à l’institut Malardé.

"A l’époque, beaucoup de gens pense que cette maladie a un rapport avec les essais nucléaires." Il n’en est rien. Premier succès scientifique pour Raymond Bagnis est son équipe à cette période : ils découvrent l’origine de la ciguatera. "Le but, alors, était de mettre au point une méthode de soins. Malheureusement, celle-ci n’a pas été encore complètement trouvée. Nous n’avons pas trouvé d’antidote", regrette le médecin chercheur.

Après des années passées au service de la recherche, le Niçois quitte l’institut Malardé en 1990. Il passe un peu de temps à l’université pour transmettre son savoir. Dix ans plus tard, Raymond Bagnis revient à l’essence même de son métier. "Je me suis remis à faire de la médecine libérale. Je suis devenu médecin remplaçant dans les îles, jusqu’en 2012", raconte le nonagénaire, bénévole depuis 2009 au sein du conseil de l’ordre des Médecins.

Raymond Bagnis s’arrête, comme pour se refaire le film de sa vie. Sa main frêle vient se poser sur son visage. L’homme réfléchit. Le temps s’est arrêté dans la salle de réunion du conseil de l’ordre des médecins. Le nonagénaire jette un coup d’œil par la fenêtre puis ajoute : "J’ai eu une vie extraordinaire. J’ai eu de la chance d’être né en France. J’ai eu de la chance de connaître les Tuamotu. J’ai eu l’impression de faire quelque chose d’utile. La vie des gens, c’est important. C’était mon rêve : aider les gens. C’est ce que j’ai essayé de faire. C’est un métier que j’ai toujours aimé…"

A 84 ans, Raymond Bagnis a conservé la foi en son métier qui l’animait plus jeune. Il l’assure : "Si j’avais un métier à refaire, c’est celui-ci que je referai…"


“Nous n’aurons jamais un médecin dans chaque île”
Les mille et une vies de Raymond Bagnis
Raymond Bagnis a exercé en Polynésie française pendant plus de 50 ans. Il a une certaine idée de l’avenir de la médecine sur le territoire :

"Tout a changé depuis que j’ai commencé. Quand j’ai fait mes premières tournées de médecin des îles, il n’y avait d’avions dans les Tuamotu. Aujourd’hui, on peut faire des évasans. La médecine itinérante s’est vraiment très bien développée même si les gens souffrent encore. La Polynésie est unique avec sa dispersion géographique. La prochaine étape pour le territoire c’est la télémédecine. Nous n’aurons jamais un médecin dans chaque île, il faut être réaliste. Ici, la médecine ne sera jamais une médecine banale. Il y a très peu de médecins qui veulent aller dans les îles. Il faut noter tout de même que beaucoup de progrès ont été faits. L’avenir c’est la télémédecine. Mais pour cela, il va falloir former les gens, et bien les former. Il faut vraiment être doué pour faire de la télémédecine. "


Qu’est ce que la ciguatera?
La ciguatera est une intoxication alimentaire qui peut être mortelle. Elle apparaît souvent après la consommation de crustacés ou de poissons des écosystèmes coraliens des zones tropicales ayant accumulé dans leur chair, au cours de leur alimentation, d’importantes toxines. Il y aurait actuellement entre 30 000 et 50 000 cas de ciguatera par an dans le monde.


Tahiti-Infos, le site N°1 de l’information à Tahiti

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Hôtel de Crillon, a Rosewood Hotel recrute Directeur(trice) de l hébergement

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teppanyaki Tahiti – Japanese restaurant

http://youtu.be/MFqrXXvJjFI

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Le rôle des tavana et des communes dans le renouveau économique

http://www.tahitinews.co/le-role-des-tavana-et-des-communes-dans-le-renouveau-economique/

La 27ème édition du congrès des communes de Polynésie française se déroulera du 1er au 4 août 2016 à Taiarapu-Est (presqu’île de Tahiti). Espace d’échanges et de dialogue, ce congrès est censé permettre à chaque maire, élu et cadre dirigeant communal de pouvoir s’informer des grands dossiers d’évolution, situe sa commune dans les débats et mieux appréhender le positionnement des communes dans le panorama institutionnel local. Le prochain rassemblement des 48 tavana traitera du développement économique ainsi que du rôle que peut ou doit jouer la commune dans ce domaine, annoncent les organisateurs. Les conclusions du précédent congrès avaient confirmé, voire souligné, la pertinence de l’action communale sur le terrain et les conditions d’une délégation possible de la compétence économique du Pays vers les communes. Ainsi donc, il a été décidé de poursuivre la réflexion et les discussions en la matière: pourquoi et comment associer les communes à la conception des grands projets ? Et à n’en pas douter, les débats devraient s’attarder autour de l’article 43-11 du statut de la Polynésie française, qui ouvre la possibilité pour le Pays de déléguer des compétences aux communes. Par ailleurs, le CESC et le monde patronal seront également invités à exprimer leur […]

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Croissants au saumon fumé – recette pour l’apéritif

http://youtu.be/mNBChNKbD10

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Tahitian dance School – Interview of Tahia Cambet – Paris –

http://youtu.be/2YgdJTKmZnM

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Trésors de Tahiti gagne la finale Argent à Nice

http://la1ere.francetvinfo.fr/polynesie/tahiti/tresors-de-tahiti-gagne-la-finale-argent-nice-383693.html

Le Tour de France à la Voile a pris fin ce samedi 30 juillet, sur une excellente note pour le défi polynésien, Trésors de Tahiti. Seul équipage ultra-marin engagé sur cette épreuve, les Moana Hiva remportent la Finale Argent et se classent 7e au classement général de cette édition 2016.

Polynésie 1ère avec Trésors de Tahiti

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Hitireva, grandiose au Mini Heiva

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http://www.tahiti-infos.com/Hitireva-grandiose-au-Mini-Heiva_a151429.html

Hitireva, grandiose au Mini Heiva
FAA’A, le samedi 30 juillet 2016. Les spectacteurs du Mini Heiva de l’Intercontinental à Faa’a ont eu la chance de voir sur scène Hitireva. La troupe a montré avec beaucoup de talent qu’elle méritait amplement son premier prix en catégorie Hura Tau.


Du ukulele et des danseurs de feu
Le Mini Heiva 2016 de l’Intercontinental Tahiti a démarré jeudi dernier et se terminera le samedi 6 août. Vendredi, le groupe de chant Tamarii Vairao et la troupe Hitireva étaient à l’honneur. Mais avant qu’ils montent sur scène, le public a pu écouter les ukulele de l’école Moana Teao, voir les grimpeurs de cocotiers et admirer l’agilité des danseurs du feu de l’école Tama Ahi.


La légende de Tamarii Vairao
Tamarii Vairao a reçu le premier prix en tarava tahiti et en ute are’are’a et de le 2e prix en himene ruau au Heiva i Tahiti 2016.


L’histoire de la couture par Hitireva
Le groupe de danse Hitireva mené par Kehaulani Chanquy a retracé l’histoire de la couture dans la société polynésienne d’antan. Une activité voire une coutume qui se dégrade petit à petit depuis l’arrivée d’un navire transportant à son bord du tissu ou encore du coton.

Vainqueur cette année du Heiva i Tahiti 2016 en catégorie Hura Tau (professionnel), la troupe Hitireva a dansé sur le thème de "tifai", "c’est le fait de coudre, de lier, de rapiécer" expliquait alors la chef du groupe de danse Kehaulani Chanquy.

Coudre était une pratique courante dans la vie polynésienne, autrefois. Pour se rendre sur une autre terre ou sur une autre île, les ancêtres n’avaient que des pirogues comme moyens de transport. Mais attention, pas n’importe lesquelles puisque les pirogues d’antan étaient complètement confectionnées et solidifiées avec du "nape" (cordelettes fabriquées avec des fibres de bourre de coco), pour pouvoir voguer sur l’océan. D’autres éléments naturels étaient également utilisés comme le "tapa".

Le public a été sous le charme de la troupe qui a montré avec beaucoup de talent qu’elle méritait amplement son premier prix en Hura tau, de meilleur orchestre création et du plus beau grand costume.

La liste des prix pour Hitireva ne s’arrête pas là puisque le groupe a aussi eu le prix du 2e meilleur danseur avec Tehere Tetuaiteroi, de meilleur compositeur et de meileur ‘otea !


Le programme des prochaines soirées :
Samedi 30 juillet, Era’i te toa nō Avera entonnera son tārava tūha’a pae et Tahiti ia Ruru-tu Noa dansera sur son thème "Hiro et Tanemanu".



Jeudi 4 août :
Tamarii Mataiea présentera son chant et Toakura sa danse.

Vendredi 5 août : Papara to’u fenua montera sur le motu le lendemain soir pour présenter son chant et en danse, ce sera au tour de Tamarii Vairao. Samedi 6 août : Pupu Tūha’a Pae se présentera en chant et en danse. Cette même soirée aura également lieu la remise des prix de Miss et Tāne Mini Heiva 2016.

Pour chaque soirée du Mini Heiva, l’Intercontinental Tahiti propose un buffet au tarif de 9 950 francs par personne.


Tahiti-Infos, le site N°1 de l’information à Tahiti

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Teahupoo 2014, la vague mytique, 6 mètres de haut

http://youtu.be/ZhGJEEzvNuU

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