Monthly Archives: janvier 2018

Ce week-end on tire les rois

https://www.tahiti-agenda.com/2018/01/04/week-end-on-tire-rois/

Hourra, nous avons survécu au déluge de fêtes! Il est temps de penser à faire un peu de sport si la météo le permet, cela fera le plus grand bien après ces 2 derniers week-ends d’abus (pour certains)!

Premier week-end : on tire les rois ! Heu…on avait dit sport!

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Le Flyboard, une discipline qui monte

https://la1ere.francetvinfo.fr/polynesie/flyboard-discipline-qui-monte-546965.html

Le flyboard C'est une discipline encore peu répandue et pourtant elle a dépassé le simple caractère de sport de loisir. Des championnats mondiaux et d'Europe lui sont déjà consacrés. Le Flyboard est aussi une discipline pratiquée en Nouvelle-Calédonie. polynesie1ere.fr, Dave Waheo Hnasson et Gael Detcheverry

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Code des marchés publics : les règles de publicité revues

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https://www.tahiti-infos.com/Code-des-marches-publics-les-regles-de-publicite-revues_a167896.html

Code des marchés publics : les règles de publicité revues
PAPEETE, le 5 janvier 2018. Depuis le 1er janvier, le nouveau code polynésien des marchés publics unifie les règles applicables au Pays, à ses établissements publics, ainsi qu’aux communes, à leurs groupements et à leurs établissements publics. Les règles de publicité ont aussi été modifiées.

Le nouveau code polynésien des marchés publics est entré en vigueur le 1er janvier. Ce code s’applique à tous les marchés publics passés par le Pays, les communes et leurs établissements publics. Il a pour but d’apporter de la clarté dans les schémas de procédure, de la simplification dans les rapports avec les entités privées, de la transparence dans l’exécution de tout marché public et de veiller à l’efficacité de l’achat public et au bon emploi des deniers publics.

Pour qui ?

Ce nouveau code met en place une unification des règles applicables à la passation et à l’exécution des marchés publics de la Polynésie française, des communes ainsi que leurs démembrements. L’objectif est ainsi de simplifier les rapports avec les entreprises, qui se verront désormais appliquer des règles identiques pour l’accès et l’attribution des marchés publics de ces mêmes collectivités.

Ce nouveau code procède aussi à un toilettage des règles de seuils de procédure et de publicité. Est ainsi instauré un seuil de procédure formalisé pour tout achat public supérieur ou égale à 35 millions de Fcfp pour le Pays et 20 millions de Fcfp pour les communes.

Publicité adaptée

Depuis le 1er janvier, et dans le but d’élargir de façon efficace sa diffusion, la publicité des marchés concernant des achats compris entre 3 et 15 millions de Fcfp peut être publiée dans des supports adaptés, sans obligatoirement passer dans un journal d’annonces légales.


Code des marchés publics : les règles de publicité revues
Publicité obligatoire et efficace

L’acheteur doit proportionner ses efforts de publicité à l’enjeu du marché. Ainsi si les appels d’offres concernant des marchés dont le montant dépasse les 15 millions de Fcfp doivent être publiés obligatoirement au Journal officiel polynésiens ou journal d’annonces légales, une publicité complémentaire est envisageable dans un journal de grande diffusion.

Afin de répondre à ces nouvelles mesures, Tahiti Infos vous propose deux supports parfaitement adaptés : le journal d’informations gratuit publié à 15 000 exemplaires et le site internet tahiti-Infos.com, qui bénéficie de la plus forte audience en Polynésie française (450 000 visiteurs uniques par mois). Une rubrique est, en effet, désormais dédiée aux appels d’offres sur le site Tahiti Infos.

Les critères

Parmi les innovations majeures du nouveau code, il faut aussi noter qu’il est désormais permis d’apposer des préoccupations environnementales, économiques ou de progrès social dans les besoins du marché. Ainsi, au-delà du simple critère de prix, le choix du candidat pourra être orienté en fonction de critères tels que l’engagement écologique du candidat ou le nombre d’embauches espéré.


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Comment Maiao est devenue « l’île interdite »

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Comment Maiao est devenue « l’île interdite »
PAPEETE, le 5 janvier 2018. L’île de Maiao s’ouvre progressivement à une activité touristique balbutiante depuis 2013, en dépit de sa solide réputation d’île interdite. Une recherche publiée en septembre 2015 dans le bulletin de la Société des études océaniennes rappelle l’origine de cette particularité.

L’île s’est durablement refermée aux étrangers il y a quatre-vingts ans, sous couvert d’un arrêté du Gouvernement des établissements français d’Océanie officialisé le 16 juillet 1936. L’article 1er de ce texte réglementaire stipule l’interdiction « aux Français, aux protégés ou sujets français et aux étrangers de séjourner dans l’île de Maiao pendant plus de 48 heures consécutives, s’ils n’en sont pas originaires ». L’arrêté est alors pris « vu les abus auxquels peut donner lieu le séjour d’étrangers dans l’île ».

Aujourd’hui, quatre générations plus tard, sur place on a oublié. On se souvient juste qu’un commerçant mal intentionné est à l’origine de tout cela. Etait-il Chinois, Français, Anglais, Américain ? Les avis divergent. Demeure la force d’une tradition. « Il est d’ailleurs intéressant de constater, lorsque l’on interroge la population de Maiao, y compris les anciens, que l’existence de l’arrêté de 1936 est loin d’être connue de tous, et qu’aux yeux de la plus grande partie des habitants, les usages toujours en vigueur représentent avant tout un héritage des mesures prises par leurs ancêtres », observe Carole Atem, professeur agrégé de Lettres à l’Université de la Polynésie française, dans l’étude qu’elle a consacrée en 2015 à cette particularité de Maiao, dans l’espace républicain française (Bulletin n°336 de la Société des études océaniennes – Septembre 2015). Aussi, constate la chercheuse, « cette concurrence entre pouvoir des textes et force de la tradition fait de Maiao une terre encore largement interdite ».

Il faut remonter aux années 1920 pour trouver l’origine de l’interdiction de Maiao aux étrangers. Un citoyen britannique du nom d’Eric Lawford Trower s’installe à Maiao pour y ouvrir un commerce. L’homme à la conviction que l’île peut accueillir une activité minière lucrative avec l’exploitation de phosphate. Il instrumentalise alors une activité de vente à crédit en profitant de la fascination des autochtones pour les biens de consommation venus de l’extérieur : tôles, bois de construction, machines à coudre… « Bien évidemment », souligne Carole Atem dans son étude, « comme à Tahiti lors de l’arrivée des Européens, l’alcool fait son apparition sur l’île. Les achats se faisant à crédit, les habitants se retrouvent très rapidement criblés de dettes et, surtout, demeurent dans l’incapacité de s’en acquitter ».

La première victime du stratagème de l’Anglais n’est autre que Nu’u a Tauniua, alors souverain de l’île. Incapable d’honorer une dette de 65775 Fcfp, il se voit signifier par le tribunal de Papeete, sur requête de Trower, la saisie des droits divis et indivis sur les terres qu’il détient. Une partie de ces terres est alors acquise aux enchères par le commerçant de Maiao. Puis, de 1925 à 1935, Trower parvient à s’approprier jusqu’à 80 % des terres de l’île, par le biais d’actes de vente conclus avec les propriétaires en échange de dettes de consommation.


Comment Maiao est devenue « l’île interdite »
Au milieu des années 1930, appelé au secours par la population de Maiao, le pasteur Octave Moreau (1872-1936) leur conseille de signaler ces malversations au Gouverneur de l’époque. Une enquête est diligentée sur place. Elle confirme les mauvaises manières de l’Anglais. Loin de se limiter aux moyens légaux, ce dernier en vient régulièrement aux menaces avec pistolet, utilise de faux témoignages, pratique le vol de coprah…

Le tribunal de Papeete ordonne, le 3 juillet 1934, la saisie de la totalité des droits de M. Trower sur les terres de Maiao. Mis en vente par adjudication, ces terres sont acquises par l’Association agricole de Maiao avec le soutien des autorités de l’Etat. L’entité regroupe tous les habitants de l’île. Elle fut constituée sur les conseils du pasteur Octave Moreau. Cette association agricole est l’ancêtre de l’actuelle Coopérative agricole de l’île.

Les dettes de l’association agricole auprès des instances de l’Etat seront remboursées au fil des ans, grâce à la vente de la production de coprah et de pandanus de l’île.


Les promesses du tourisme
Comment Maiao est devenue « l’île interdite »
Les années ont passé. Et cette histoire a été oubliée sur place. Depuis 2013 cependant, Maiao s’ouvre timidement au tourisme. L’activité offre une source de revenus alternative à la population. Pas de pension de famille et encore moins d’hôtel. Un charter nautique transporte les visiteurs depuis Tahiti pour des visites de trois jours. Les visiteurs logent à bord mais ont la possibilité de profiter de la plage, peuvent faire une randonnée en montagne et termine leur séjour par un grand pique-nique en bord de mer. En 2017, 12 voyages de ce type ont été organisés. Une centaine de visiteurs ont ainsi pu découvrir Maiao.

« Aujourd’hui, tout le monde veut prendre le tourisme. Ca nous donne une autre source de revenus. Une source d’argent très importante pour nous », a affirmé Mme Teariki à l’adresse d’Edouard Fritch, lors de la visite gouvernementale organisée fin décembre dernier, en prenant à témoins la population de l’île rassemblée autour d’elle. Cette nouvelle activité économique s’installe aujourd’hui sur la pointe des pieds. Tout reste à faire sur place dans le respect d’un règlement strict actualisé en 1989 (voir encadré) ; mais on sent bien que la volonté existe d’en finir avec les rigueurs qui ont valu à Maiao la réputation encore très mérités d’île interdite.


Comment Maiao est devenue « l’île interdite »


Quelques généralités sur Maiao
Comment Maiao est devenue « l’île interdite »
Plantée dans l’océan Pacifique à 62 nautiques sur l’ouest de Tahiti, Maiao est rattachée administrativement à la commune de Moorea, située à quatre heures de mer. L’île compte 353 habitants en 2017, essentiellement rassemblés dans les 80 foyers du petit village de Taora o Mere. Le point culminant de Maiao est une colline de 154 m, Ravae, logée ou cœur d’un petit massif qui s’étale d’Ouest en Est et surplombe les deux lagunes de l’atoll, Roto Iti et Roto Rahi, au Nord et au Sud.

L’île est entourée d’une barrière récifale, interrompue par deux passes ouvertes aux petites embarcations : Avarei, creusée à la dynamite non loin du village ; et Apotoo, un passage naturel utilisé uniquement lorsque la passe d’Avarei n’est pas praticable. D’une superficie de 900 hectares, l’île de Maiao tire ses revenus du commerce en déclin du coprah et des feuilles de pandanus séchées (le Rauoro, utilisé pour le tressage ou la confection de toitures traditionnelles). La production et le commerce en sont administrés pour le bien de la collectivité par une coopérative agricole, aujourd’hui présidée par Tauniua Wolta Matahiapo.

Maiao fut également appelée Tapuae Manu, Maiao Iti, ou encore Teanuanuaiterai en raison de fréquents arc-en-ciel liés à la présence de ses deux lacs intérieurs.

Le premier européen à avoir visité l’île est le capitaine Samuel Wallis, en 1767. Maiao a été une dépendance de la royauté de Huahine jusqu’en 1904, avant son rattachement administratif à la circonscription de Tahiti et ses dépendances.


Une réglementation stricte
Le règlement en application sur l’île de Maiao a été édicté en 1936 et révisé en mai 1989. Il comporte aujourd’hui en 16 points :

– La construction d’une piste d’aviation est interdite sur l’île ;

– Aucune construction d’hôtel n’est autorisée ;

– Une vente immobilière n’est possible qu’aux membres de sa propre famille, aux membres de la coopérative agricole, ou aux habitants de l’île. Le prix au mètre carré est fixé à 10 francs.

– Les habitants de l’île seront respectés de même que leur manière de vivre ;

– Les habitants de l’île doivent respecter les gens qui décident de venir se réinstaller sur la terre de leurs ancêtres ;

– La vente d’alcool est strictement prohibée. Seul le maire est habilité à en autoriser exceptionnellement la vente pour la célébration d’un événement particulier ;

– Tout comportement indécent ou susceptible de heurter la sensibilité des habitants de l’île est interdit. Les autorités de Maiao jugent de ce qui est acceptable ou non.

– Le dimanche sera respecté. Aucun travail ne pourra être effectué au-delà des limites de sa propriété.

– Maiao est de religion protestante. La pratique d’autres religions n’est tolérée sur l’île que dans les limites de son propre domicile ;

– Toute embauche d’employés européens ou asiatiques est interdite sur l’île, en raison des malversations subies par les habitants dans les années 1935 ;

– Les richesses de la mer doivent être respectées et ne doivent pas être utilisées à des fins d’enrichissement personnel.

– La pêche au filet est interdite, sauf sur dérogation du maire. La pêche dans les lagons intérieurs est interdite à toute personne non originaire de l’île sous peine d’amende et de saisie du matériel. A l’extérieur du récif, les techniques de pêche à la bouteille ou à l’explosif sont interdites ;

– Toute activité agricole doit être faite au bénéfice des habitants de l’île ;

– Sur le plan de la moralité, il est strictement interdit de se comporter à Maiao comme le font les étrangers dans leur pays. La tenue vestimentaire doit être décente (pas de vêtements trop courts). Le port du maillot de bain est interdit à l’intérieur de la zone qui s’étend de l’entrée du village à l’est, au lieu-dit « Vairo », jusqu’au lieu-dit « Mautara » à l’ouest. Le non-respect de ces règles étant puni par une amende ;

– Tout visiteur d’origine française, asiatique ou européenne doit s’acquitter de la somme de 2000 Fcfp par adulte et 500 Fcfp par enfant. Les familles et les amis des habitants de l’île bénéficient de la gratuité ;

– Comme nous vivons dans un monde de paix et de respect mutuel, nous nous devons de nous aimer et de nous entendre, pour éviter tout conflit.


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Le Méridien Bora Bora recrute Guest relation pour clientèle chinoise

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Prison de Papeari : de la couture pour se réinsérer

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Prison Papeari : de la couture pour se réinsérer De la couture pour se réinsérer et pour venir aider des familles. Les détenus de Papeari se familiarisent avec les tissus. Chaque mardi, ils sont sept à confectionner des couvertures pour enfants prématurés. polynesie1ere.fr, Stéphane Ratineau, Jacques Damour

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Tout l’art de souhaiter la bonne année…

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Entreprises comme particuliers débordent d’imagination pour créer une carte de voeux sur mesure. La preuve… Nous en avons sélectionné quelques-unes,

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5 résolutions pour 2018

https://www.tahiti-agenda.com/2018/01/03/5-resolutions-2018/

Après une année 2017 riche en rebondissements voici que sonne le gong pour l’année suivante. Dans le tumulte de ce week-end de fête, la rédaction de Tahiti Agenda s’est penchée sur les résolutions que vous pourriez prendre pour l’année à venir. Conseils d’amis pour un guide d’idées afin de bien démarrer 2018, c’est par ici que ça se passe.

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Deux grands projets d’aménagement du port autonome en 2018

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Deux grands projets d’aménagement du port autonome en 2018 Le conseil des ministres a approuvé le budget 2018 du Port autonome de Papeete pour un montant de 5 338 250 000 cfp

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Miri Miri – Tahatai Cigogne – L’EQUIPE DU NORD.wmv

http://youtu.be/cTzB_F_t6jc

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Matahiti Hiti Mano – JOHN GABILOU.wmv

http://youtu.be/E5VtQG_673c

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Michel Bourez : sa belle déclaration d'amour à Vaimiti Laurens

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demande mariage Michel Bourez Notre spartan Michel Bourez a demandé en mariage, celle avec qui il partage sa vie depuis 9 ans, Vaimiti Laurens, la fille du chanteur Guy Laurens. polynésie 1ère ; MD

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Justice : Deux ans de prison ferme pour deux cambriolages

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Justice : Deux ans de prison ferme pour deux cambriolages
PAPEETE, le 02 janvier 2018 – En bonne voie pour une réinsertion sociale, un trentenaire comparaissait mardi devant le tribunal correctionnel pour deux cambriolages commis à Faa’a dans la nuit du 30 au 31 décembre.



Certains ne savent pas attraper une main tendue, c’est le constat du tribunal correctionnel de Papeete et du SPIP, ce mardi 2 janvier. Un jeune homme de 31 ans comparaissait, hier pour deux cambriolages commis dans la nuit du 30 au 31 décembre à Faa’a.

Le trentenaire s’est introduit dans un premier appartement par le balcon. Là, il s’est emparé de 110 000 francs dans un sac à main. Ensuite, il est passé par le balcon dans un second appartement où il s’empare d’un sac à main avant de tomber nez à nez avec sa seconde victime. Prise de peur, la femme lui arrache son sac à main et pousse le cambrioleur hors de chez elle. Elle appelle ensuite la police et la gendarmerie. L’homme sera interpellé plus tard dans la nuit.

Lors de l’audience du tribunal correctionnel, la seconde victime, très tendue, n’a pu s’empêcher d’éclater en sanglots lorsqu’elle a pris connaissance du casier judiciaire de son cambrioleur.

À 31 ans, l’homme compte 15 condamnations à son actif, dont la dernière pour agression sexuelle suite à un cambriolage.

Cependant, c’est devant des magistrats consternés que l’homme comparaissait hier. En effet, sorti de prison en septembre dernier, l’homme était logé au Bon Samaritain et bénéficiait depuis le 1er décembre d’un CAE dans une grande entreprise locale. Dans son rapport le service pénitentiaire d’insertion et de probation indique "il n’a pas su saisir sa chance. Il va devoir payer les conséquences de ses actions."

À la barre, le prévenu s’est excusé auprès des victimes, mais aussi auprès de la société, " Je regrette sincèrement ce que j’ai fait. Je leur demande pardon. Le SPIP m’a donné l’occasion de me réinsérer et j’ai tout gâché. Mais ce n’est pas parce que j’ai tout gâché que je ne peux pas me rattraper".

Dans un premier temps, le prévenu se justifie disant avoir besoin de cet argent pour rembourser ses dettes et amendes. Ce n’est qu’ensuite qu’il avouera être un consommateur de paka lolo mais surtout d’Ice.

Le procureur de la République a indiqué "je ne peux pas être clément aujourd’hui." Il a requis trois ans de prison ferme avec mandat de dépôt "afin qu’il puisse au moins retrouver une certaine liberté par rapport à lui-même et à cette prison qu’est l’Ice".

Le tribunal correctionnel a condamné le prévenu à deux ans de prison ferme.


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599 plants de Pakalolo saisis à Tiarei

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599 plants de Pakalolo saisis à Tiarei
PAPEETE, le 02 janvier 2018 – 599 plants de cannabis ont été saisis ce samedi 30 décembre par les gendarme dans ma vallée de Onohea à Tiarei.



Samedi 30 décembre 2017, dans le cadre du service quotidien de prévention de proximité dans la vallée de Onohea, les gendarmes de la brigade de Tiarei sont attirés par une forte odeur de cannabis provenant d’une habitation.

Sur place, ils découvrent 599 plants de cannabis cultivés en pot et du cannabis conditionné sous forme de « stick ».

Le propriétaire reconnaît cultiver cette plante illicite dans le but de la revendre. Il fait l’objet d’une convocation par officier de police judiciaire devant le Parquet de Papeete au mois d’avril 2018.

Les plants de cannabis et les produits saisis ont été détruits par incinération sur instruction du Parquet de Papeete.


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E mauruuru a vau Mario

http://youtu.be/DqYclOVPf0s

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